L'ambiance est véritablement compliquée dans nos établissements scolaires.
La pression est mise sur les épaules des directeurs, des chefs d'établissements, des enseignants... On leur demande beaucoup de choses, beaucoup plus qu'il y a quelques années.
Ils deviennent responsables, parfois coupables aux yeux de certains parents d'élèves. Aujourd'hui, Philippe Cameroni, président de Cap Autonome peut témoigner, pour recevoir plus de 500 appels par an, de la surprise de certains de nos collègues par rapport à la défense qu'ils croyaient pouvoir attendre de nos supérieurs hiérarchiques.
Notre défense est oubliée.
Encore plus qu'hier, on ne peut compter que sur nous pour nous défendre.